Etonnant, ce monument. Autant je trouve ridicules les statues de soldats blessés enroulés dans leur drapeau, autant je trouve cette réalisation-ci touchante, et plus près des gens.
Merci pour le lien Wiki, Cachounette !
Anne LANG-BRINGER
6 années il y a
Tiens, frère, c’est une idée que tu avais eue ça, d’écrire des épitaphes bien tournées et personnalisées sur les tombes, non ?
Raconter plutôt que signer ou se signer…
Témoigner de la vie plutôt que pleurer sur la mort…
Laisser une trace imaginable plutôt qu’oublier…
« Qu’est ce qui serait assez important, selon vous, pour risquer votre vie ? »
Voilà la question qui a été posée.
Finalement, j’ai été chercher sur le Net !! Et c’est en effet un « monument vivant » 😉
Pour ceux que la démarche intéresse, elle est expliquée sur wikipédia (suivre le lien)
Il y a des sens profonds habillés de paroles maladroites, des mots du cœur, et des mots de raison, des naïvetés, du vécu, des espoirs … En lisant chaque plaque, je me demandais qui l’avait écrite : quel âge ? homme ou femme ? et pourquoi justement ce témoignage-là …
En fait, ce n’est pas un monument aux morts, c’est un monument aux vivants !
Mais le violon … Terrible.
Étonnant monument de la parole sur la guerre, sur les morts pendant les guerres. On dirait un forum internet avec des commentaires contradictoires, mais sur un bloc de béton faisant office de monument, et sans mémoire faite des morts.
Intéressant.
Oui … Quand même plus pédagogique : que « Mort pour la France » …!
C’est émouvant, bouleversant, et je suis bien pauvre en mots. Mais chamboulée, ça oui.
Autant de phrases qui donnent à réfléchir, sur la vie, la mort, et sur ce que l’humanité en fait…
Une bien belle et bonne idée ce monument.
Etonnant, ce monument. Autant je trouve ridicules les statues de soldats blessés enroulés dans leur drapeau, autant je trouve cette réalisation-ci touchante, et plus près des gens.
Merci pour le lien Wiki, Cachounette !
Tiens, frère, c’est une idée que tu avais eue ça, d’écrire des épitaphes bien tournées et personnalisées sur les tombes, non ?
Raconter plutôt que signer ou se signer…
Témoigner de la vie plutôt que pleurer sur la mort…
Laisser une trace imaginable plutôt qu’oublier…
Oui, une épitaphe ou un symbole qui évoque le/la disparu/e. Une proposition à vocation poétique incompatible avec la politique des pompes funèbres.
« Qu’est ce qui serait assez important, selon vous, pour risquer votre vie ? »
Voilà la question qui a été posée.
Finalement, j’ai été chercher sur le Net !! Et c’est en effet un « monument vivant » 😉
Pour ceux que la démarche intéresse, elle est expliquée sur wikipédia (suivre le lien)
Merci Cachou, je n’ai pas trouvé ce lien et je m’apprêtais à téléphoner à la mairie de Biron !
Ah bah voilà, ça explique bien ce qu’on ne comprenait pas. Merci Marie, j’avais aussi envie de faire une recherche, mais je n’ai pas eu le temps.
Il y a des sens profonds habillés de paroles maladroites, des mots du cœur, et des mots de raison, des naïvetés, du vécu, des espoirs … En lisant chaque plaque, je me demandais qui l’avait écrite : quel âge ? homme ou femme ? et pourquoi justement ce témoignage-là …
En fait, ce n’est pas un monument aux morts, c’est un monument aux vivants !
Mais le violon … Terrible.
Étonnant monument de la parole sur la guerre, sur les morts pendant les guerres. On dirait un forum internet avec des commentaires contradictoires, mais sur un bloc de béton faisant office de monument, et sans mémoire faite des morts.
Intéressant.