Dedans, dehors,
Dedans, c’est l’intime qui se cache ou qui observe,
Dehors, c’est la « façade », c’est de ce qui est donné à voir sur l’espace public, et qui parfois trahit.
Les portes, les fenêtres, solides et fragiles à la fois, ténues et dérisoires frontières entre soi et les autres ….
Voici quelques regards intérieurs ou extérieurs, de lieux connus ou de lieux croisés, d’espaces privés ou d’espaces publics.
Comme les hommes, les bâtiments vivent et meurent, trichent, se protègent …
et parfois s’écroulent.
La porte…ouverte évidemment !
La clé de fa sur la porte, je la reconnais : c’est la clé d’Hermann, le pianiste.
Hem.
Je retrouve le florilège d’images cachouniennes avec plaisir.
Tes photos sont très belles et s’entrouvrent sur notre propre imaginaire. Et puis j’aime ta présentation.
https://plus.google.com/photos/photo/111651907428732163752/6457173980914794946?icm=false&iso=true
Des ouvertures… des fermetures aussi… C’est toute une vie ça, les choses qui sont et qui ne sont plus visibles, accessibles. Des portes qu’on ouvre et qu’on referme au gré du temps nécessaire.
De bien belles photos qui parlent !
Ce qu’il nous est donné à voir, à toucher avant d’entrer vraiment en dedans.
Une présentation qui fait sens, que ces portes et fenêtres pour se (s’y) présenter ^^
Salut Cachou ! Bonne idée ce site !
Ce n’est pas que le mien !! Sans les potes, je n’aurais jamais réussi ça 😉
Merci pour la visite, Thierry, ça fait plaisir … Vraiment +++
autant en em »porte » le temps. Et comme le temps fait parfois bien les choses, comme ces photos où tu as si bien su tirer le meilleur de la matière. Bravo Cachou!
Je vais être d’une consternante platitude…
Ce sont des vieilleries révélées … Réveillées.
Il y a au moins une porte qui vient d’Ardèche, si je ne m’abuse… 😉
Un grand bravo Cachou et toute l’équipe ! Je suis allée il y a peu sur ton wix et n’ai rien vu de nouveau, ça m’étonnait fort que tu n’aies rien créé depuis et pour cause !
Choix difficile, mais beau choix et belle présentation. Une balade imaginaire à travers des ambiances contrastées.
Et le chat noir qui promène son regard distant sur nos mystères cachés.
Il y a plein de vie(s) derrière ces portes, ces fenêtres que l’on « chaparde » du regard. Des vies dont l’on ne saura souvent rien ; ce qui laisse le champ libre à l’imagination.
Ce qui me fait également songer à d’autres vies.
J’ai longtemps éprouvé un certain malaise devant ces immeubles partiellement démolis qui affichaient leurs papiers peints à fleurs et leurs canalisations qui tenaient encore accrochées aux murs en un équilibre précaire. Des gens s’étaient aimés, engueulés là, et puis, patatras ! Un jour, la pelleteuse avait débarqué…