splendide, je découvre cette fleur, subtile, qui s’offre à nous dans toute son authenticité. merci du partage.
Anne LANG-BRINGER
5 années il y a
… ça se mange ? La famille Adams en ferait-elle sa pub ?
– De la sanguisorbe, en cornet ou en coupettes ?
– Du jus de sanguisorbe à la paille ou au goulot pour les grandes soifs de l’été ?
– A consommer à point (pas trop saignant) après le coucher du soleil…
Tout un programme gastronomique pour vampires en goguette !
Magnifique ! J’aime particulièrement la première photo, toute fraiche et printanière, et les deux chevelues avec des petits pistils d’or, très baba cool.
Hou là là ! Ce n’est plus de la photographie ce que tu nous fais. Tu te recycles dans le travail d’orfèvrerie à présent. Tu nous confectionnes des bijoux savamment taillés avec pierres rares en incrustation et tiges rosées ornée d’or. c’est du travail d’artiste. Et cerise sur le solitaire, un médaillon de jade délicatement posé là. Que du beau !
Et le Mékilef qui voit là de punaise, le rustre ! Aucune sensibilité
Je te fais de gros bijoux
Je propose un autre titre de polar; « Le locavore et la sanguisorbe » qui se situerait entre le « Locataire » de Polansky et la manne des polars de Sorgues. Elle ne doit pas être très grande cette plante mais elle ne lésine pas sur la fanfreluche; elle est superbe ! quelle poésie sa robe de pistils et ta poésie à attendre qu’elle s’habille pour se déshabiller.
Aïe, aïe, aïe ! Quel goulamas (un mot local mais pas d’ici) ce locavore : s’attaquer à si belle petite chose ! Néanmoins cette plante n’est pas si petite que ça et on a des bouillées (local itou) de belle envergure…
Luciole
5 années il y a
Incroyable complexité. Qui aurait pu prévoir tant d’exubérant foisonnement ?
Punaiiiise !
Je n’aurais jamais vu le suspect N°1, présumé innocent bien sûr, mais on n’en pense pas moins, sans le regard comme d’hab aiguisé de l’enquêtrice.
Pour autant, je n’ai pas vu le taon passer ! Peut-être que c’est un taon pourri comme ce mois de Mai.
Tes photos par contre, elles sont bien belles dans le vert délicat de leurs robes rehaussé de ces petites touches grenat. ;-)))
Et puis « Vie et mort d’une sanguisorbe », ça ferait un bon titre de polar … On a même un suspect numéro 1 qui s’est fait gauler, malgré sa tenue de camouflage, par la caméra de surveillance.
Mais ce n’est pas parce qu’il est vert que nous ne respecterons pas ici la présomption d’innocence. Les amalgames, c’est pas notre truc. D’ailleurs, lui, il clame que ce n’est pas de sa faute, il dit que c’est à cause du temps qui passe, qui lasse, qui casse …
Hein ? Du taon ? quel taon ? Ah ah ! un nouveau rebondissement dans l’enquête ?
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La nature et l’instant sont magnifiques !
Toujours magique cette vision du monde « minuscule » tellement grandiose…
Je découvre cette fleur, splendide, qui s’offre à nous dans toute son authenticité.
Merci du partage.
splendide, je découvre cette fleur, subtile, qui s’offre à nous dans toute son authenticité. merci du partage.
… ça se mange ? La famille Adams en ferait-elle sa pub ?
– De la sanguisorbe, en cornet ou en coupettes ?
– Du jus de sanguisorbe à la paille ou au goulot pour les grandes soifs de l’été ?
– A consommer à point (pas trop saignant) après le coucher du soleil…
Tout un programme gastronomique pour vampires en goguette !
Eh oui, ça se mange ! Du moins, c’est comestible en tant qu’aromate. Mais on peut aussi inventer des recettes 🙂
Magnifique ! J’aime particulièrement la première photo, toute fraiche et printanière, et les deux chevelues avec des petits pistils d’or, très baba cool.
Formidable; le temps d’une vie au jardin.
Je veux un lustre comme ça.
Et si c’est pas possible, une permanente alors.
Pff j’en reste coite et béate d’admiration !
Hou là là ! Ce n’est plus de la photographie ce que tu nous fais. Tu te recycles dans le travail d’orfèvrerie à présent. Tu nous confectionnes des bijoux savamment taillés avec pierres rares en incrustation et tiges rosées ornée d’or. c’est du travail d’artiste. Et cerise sur le solitaire, un médaillon de jade délicatement posé là. Que du beau !
Et le Mékilef qui voit là de punaise, le rustre ! Aucune sensibilité
Je te fais de gros bijoux
C’est vrai, on dirait du JMCJ !
Ouais, c’est vrai 🙂
Je propose un autre titre de polar; « Le locavore et la sanguisorbe » qui se situerait entre le « Locataire » de Polansky et la manne des polars de Sorgues. Elle ne doit pas être très grande cette plante mais elle ne lésine pas sur la fanfreluche; elle est superbe ! quelle poésie sa robe de pistils et ta poésie à attendre qu’elle s’habille pour se déshabiller.
Aïe, aïe, aïe ! Quel goulamas (un mot local mais pas d’ici) ce locavore : s’attaquer à si belle petite chose ! Néanmoins cette plante n’est pas si petite que ça et on a des bouillées (local itou) de belle envergure…
Incroyable complexité. Qui aurait pu prévoir tant d’exubérant foisonnement ?
Quelle patience ! Tu as campé à côté d’elle ou bien ?
Bien sûr Yves, sous ma canadienne !!!
Punaiiiise !
Je n’aurais jamais vu le suspect N°1, présumé innocent bien sûr, mais on n’en pense pas moins, sans le regard comme d’hab aiguisé de l’enquêtrice.
Pour autant, je n’ai pas vu le taon passer ! Peut-être que c’est un taon pourri comme ce mois de Mai.
Tes photos par contre, elles sont bien belles dans le vert délicat de leurs robes rehaussé de ces petites touches grenat. ;-)))
Oui, en effet, et on pourrait même dire pour résumer la situation qu’avec le taon, avec le taon, va, tout s’en va (même les p’tites touches grenat) …
T’en fais pas, c’est saisonnier, c’est récurent !
🙂
Oh ! mais que c’est délicat, cette petite chose !
Et puis « Vie et mort d’une sanguisorbe », ça ferait un bon titre de polar … On a même un suspect numéro 1 qui s’est fait gauler, malgré sa tenue de camouflage, par la caméra de surveillance.
Mais ce n’est pas parce qu’il est vert que nous ne respecterons pas ici la présomption d’innocence. Les amalgames, c’est pas notre truc. D’ailleurs, lui, il clame que ce n’est pas de sa faute, il dit que c’est à cause du temps qui passe, qui lasse, qui casse …
Hein ? Du taon ? quel taon ? Ah ah ! un nouveau rebondissement dans l’enquête ?
Ouais, c’est pas lui ! L’enquête nous mène droit vers Pimprenelle !
Ah ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiis … sachant que de mon côté j’ai Nicolas : l’étau se resserre !
Ben alors, as-tu arrêté le coupable ?