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1er concert !

M – «  NP’s ». Difficile de les trouver sur le web avec ce seul acronyme qui nous oriente vers les pistes les plus inattendues à travers le monde. Pourtant, Le groupe existe, le logo est identifiable avec la silhouette de ses 5 musiciens. On peut le retrouver sur Youtube ou sur  Facebook . Mais, attention aux fausses pistes. Tous vivent à Nîmes aujourd’hui. Certains en sont originaires, d’autres viennent d’horizons différents, « Du Nord  –  Lille ?  – Non, de Nantes  – Ha ! c’est  pas vraiment le Nord alors ! – Si, c’est loin et il fait froid !»

Ils ont commencé par jouer entre eux, des reprises, pour le plaisir. Leur premier « concert » c’est lors d’une fête des voisins dans le quartier de l’un d’entre eux. Puis les portes s’ouvrent, un bar privé à St Gervasy, près de Nîmes, mais aussi 2 restaurants, « Le Poivre Rouge »  et surtout « le Danieli », place d’Assas, au centre de la ville, où ils ont désormais leurs entrées.

De fil en aiguille, ils en viennent à être invité et diffusés par Radio Nîmes 80 (canal 30), une station locale installée dans un garage, et acquièrent une certaine notoriété sur la place. Ils ont leur propre studio pour répéter et enregistrer chez l’un d’entre eux et assez vite l’occasion se présente de « créer un clip, « Garance », pour le défilé d’une amie qui crée des bijoux.

 M – Et puis il y a les pseudonymes : Tony Palladino,  Appollo  Christopher  Vermouth, BB Cale, Jeff Mac Key. Alors je me permets de te poser cette question : n’y a-t-il pas dans ce groupe une volonté sournoise de brouiller les pistes ?

Jay Jay Parker – Il faut le dire, on ne se prend pas la tête, il y a d’abord et surtout une envie de s’amuser. C’est Appollo qui nous a « baptisés » Ces pseudos sont autant de clins d’œil vers le bain Blues/Rock dans lequel il s’ébat depuis toujours.

M – Et toi, « Il connait tout le monde à Nîmes, c’est notre impresario », c’est ce que disent, un rien narquois, tes comparses. Alors, tu peux nous les présenter ?

Jay Jay Parker  – OK allons-y, par ordre chronologique d’entrée dans le groupe

Tony Palladino d’abord –  Guitare Basse – C’était le seul musicien Pro et c’est grâce à lui que s’est créé le groupe. Il avait déjà son pseudo, il l’a gardé. Il avait aussi plein de matos pour la sono.

Je parle au passé car il nous a quitté il y a peu et poursuit sa carrière de musicien pro. Il va donc falloir investir .

M – Et trouver une autre basse !

Jeff Mac KeyGuitare électrique – Jeff de son vrai prénom, alors pourquoi pas Mac Key ?  C’était jusqu’il y a très peu de temps le plus jeune, « le beau gosse » du groupe. Il est maçon. Il répète chez lui, au milieu de la campagne, face à une manade. C’est chez lui aussi que nous nous retrouvons pour  répéter, c’est calme même si la nuit il y a la mare aux grenouilles. Il s’est créé un studio « Frogg Lake  Studio», tant qu’à faire !

Appollo ensuite – Batteur et chanteur du groupe Infirmier à l’origine, il travaille à la direction de la SNCF à Paris comme Référent Sécurité. A sa manière c’est le pilier du groupe : c’est le seul d’entre nous qui sait chanter, les autres … Alors nous avons du adapter nos créations au timbre particulier de sa voix. Et puis, c’est une véritable encyclopédie de la musique. Tu peux lui poser une question sur ce que tu veux, qui tu veux, il connait « tout ». C’est aussi un remarquable technicien : avec un copain, il y a des années, il a développé un excellent logiciel qui nettoie les parasites et bruits de fond  sur les enregistrements. Le logiciel est utilisé dans le monde entier, on le surnomme « The Butcher » parce qu’il fait ça au cordeau et les enregistrements saignent…impec !

Il est enfin connu aussi sous un autre pseudo : « Christopher Vermouth » – De même que Mc Cartney, dans les débuts des Beatles, a voulu éditer sous un pseudo inconnu afin de vérifier que c’était bien la musique qui faisait le succès, et non pas un effet de mode. Et ça a marché pour lui, alors OK, pourquoi ne pas essayer ?

BB Cale – Guitare, harmonica, trompette – Bien sûr on pense à JJ Cale, mais « c’était déjà pris »! Il a travaillé en ESAT auparavant. Aujourd’hui, il est artisan boulanger. Il se lève à 3 h du matin et travaille jusqu’à 18h30. Ҫa ne lui laisse pas beaucoup de loisirs.  Pour lui, les répétitions, c’est le Vendredi.

Jay Jay Parker – Saxo Et puis il y a moi. Je voulais « Jay Parker », mais là aussi c’était pris, on n’allait pas se précipiter au-devant d’interminables procédures juridiques. Je connais ! Je suis avocat, et après 20 ans de pipo, j’ai voulu jouer du saxo.

Alors pourquoi « Jay Jay » ? Parce qu’à l’école les copains m’appelaient par l’initiale doublée de mon prénom, ça faisait GG d’où « Jay Jay ».

Je te l’ai dit, on a surtout envie de s’amuser !

M – Nous y voilà !

Chacun veut prendre l’air du large, histoire de se sortir du sérieux et de la grisaille quotidienne. Mais pratiquer un instrument pour son plaisir et celui de ses proches (famille, amis ou grenouilles) est une chose, former un groupe en est une autre.

De l’un à l’autre, le chemin est aride.

JAY JAY PARKER

M –  Tu t’es mis très tard à la musique, ça fait combien ? 4 ou 5 ans peut-être ? Qu’est-ce qui t’a donné envie d’apprendre le saxo et comment es-tu arrivé jusque là ?

Jay Jay Parker – J’ai toujours aimé la musique. C’est sans doute un héritage maternel. J’ai un demi-frère organiste et par ailleurs pondeur de projets de haut vol. Mais pour moi, pendant des années, rien !

J’ai passé un an en Allemagne dans le cadre d’Erasmus. Là-bas, les étudiants forment des concerts impressionnants, jusqu’à 300 – 400 musiciens. Par la suite, un copain pianiste de jazz m’a permis de rencontrer d’autres musiciens. C’est là que l’envie m’est venue de jouer d’un instrument : le saxo, c’était à la mode ! Et donc je disais « un jour j’apprendrai », mais je trainais.

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Square One Solo Sax

 

Alors pour l’anniversaire de mes 40 ans ma femme a fait passer une enveloppe et j’ai reçu un « Bon pour l’achat d’un saxo ». Nous sommes donc allés l’acheter sans tarder. Pour l’anecdote, le vendeur m’a proposé d’essayer un modèle « bien pour un débutant », je l’ai pris, j’ai soufflé dedans, miracle du premier coup il en est sorti un très beau son. J’y ai vu un signe et je suis ressorti avec mon saxo. Mais une fois rentré chez moi, je ne faisais plus que des « Couac ». J’ai trouvé un prof, je lui ai dit « je n’y connais rien, je veux apprendre ». Il a pris le saxo, l’a essayé, le son était moche. Il m’a alors expliqué que les vendeurs mettaient pour les essais ce genre de bec qui donne un son sans difficulté, pour mieux vendre ! Mais on ne joue pas avec un bec pareil ! Il a changé le bec et moi, j’ai souffert avant d’en tirer un son correct ! On était en Octobre, je voulais être capable de jouer « Douce nuit » en famille à Noël. Je l’ai fait! Mais ils en avaient tellement mare de m’entendre répéter que ce soir là ils n’en avaient plus rien à foutre !

J’ai tout de suite voulu jouer pour partager. Mon fils apprenait la batterie, son prof, c’était Tony Palladino. On bavarde, je dis que j’apprends le saxo. Un soir Tony invite mon fils à jouer: « Tu vas accompagner ton père … » et il ajoute pour moi: «…on cherche un saxo …»

Je devais accompagner mon fils mais finalement il n’a pas voulu se rendre à cette invitation. J’ai décidé d’y aller quand même et c’est là que je les ai rencontrés : Appollo et Jeff étaient déjà là, ils se connaissaient, j’ai commencé à discuter et sympathiser avec eux, … BB Cale est arrivé en dernier et là il y a eu le déclic, on s’est tout de suite trouvés en phase.

APPOLLO

M – Une question, j’entends dire: « Appollo, c’est une véritable encyclopédie de la musique ». Et toi-même, qu’est-ce que tu en dis ?

Appollo – Effectivement, le virus m’a été donné par mon frère ainé dans un premier temps.
Par la suite, je me suis intéressé aux artistes et à leurs œuvres. J’ai donc approfondi en lisant beaucoup, énormément même, sur les coulisses de ce qui fait de très bons albums, voir des albums géniaux et incontournables.
Et puis je me suis rendu compte que le monde de la musique en particulier à Londres, était « petit ». La plupart du temps ils se connaissent tous, parfois, ils s’apprécient plus ou moins, parfois ils collaborent pour le meilleur.
La musique c’est un chemin de vie. Une éducation, un apprentissage. C’est aussi pour moi, le partage. Partage de valeurs essentielles, l’amitié, l’amour, le respect, la recherche du « beau » . Une forme de plaisir aussi bien pour l’esprit que pour le corps. C’est un bon moyen pour essayer de devenir meilleur, de s’élever.

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Tour de chauffe au studio

M – Comment es-tu passé de cette culture à l’envie de pratiquer un instrument ?

Appollo – J’ai commencé à prendre auprès de Tony des cours de Batterie au printemps 2009. En fait, depuis longtemps je tapais sur un peu tout ce que je trouvais et puis j’avais une admiration pour certains batteurs.
Pendant très longtemps, j’avais peur de me lancer, je réfléchissais trop. Mon épouse, avait une très bonne collègue avec qui elle était amie et un jour elle lui avait confié mon souhait et mes craintes concernant la batterie. Celle-ci lui a proposé que je rencontre son mari qui était prof de Batterie et de faire un essai. Et c’est parti, le courant avec Tony est passé et me voilà apprenti batteur.

Jeff , je l’ai connu plus tard, c’est Tony qui me l’a présenté. Il faisait de la batucada avec Tony et il  s’était mis à la guitare. Notre chanteur était parti. On travaillait à cette époque à trois, Tony à la Basse, Jeff à la guitare et moi à la batterie.

Tony était aussi le prof de Batterie du fils de Guilhem (J.J.Parker) et de celui de Bruno (BB.Cale).

J’ai croisé ce dernier à une représentation de batteurs et j’avais été impressionné par la prestation de son fils. C’est Tony qui m’avait dit de venir. Ce faisant,  il espérait que l’alchimie prenne entre nous, et puis il m’avait soufflé que Bruno était un très bon Guitariste. J’espérais que Bruno fasse un essai avec nous. Il est venu une première fois mais à cette époque nous étions trop nombreux dans le groupe et il ne se passait rien. Ce n’est que plus tard, une fois les intentions de chacun éclaircies, qu’il est revenu, on a joué ensemble et la magie était là. On se comprenait musicalement. On a par la suite, découvert que nous partagions un héritage musical commun et peu commun, puisque nous aimions les mêmes artistes et ce, dans les moindres détails.
Dans ces moments là, il n’y a qu’un seul mot pour caractériser les choses, la chance.

M –  Ta vie professionnelle est très prenante, comment arrives-tu à concilier musique et travail ?

Appollo – Pour ma situation professionnelle, certes ce n’est pas simple.
Mais voilà, Tony me faisait croiser le fer avec beaucoup d’autres musiciens afin que je puisse échanger, discuter musique, voir comment les autres appréhendaient celle-ci  de leur point de vue. Je pense qu’il avait compris que j’avais besoin de me confronter aux autres, à leur façon de jouer, il fallait que je m’exprime !!! C’était presque une thérapie. J’étais très timide, j’ai beaucoup souffert de l’idée que je me faisais de moi et de mes capacités. Et puis Tony connaissait bien ma passion pour la musique et pour le son. Il savait qu’en me faisant rencontrer des musiciens (pas que des batteurs) je pourrais me libérer. Ça a bien marché.

Même s’il est parti et si nous ne comprenions plus la musique de la même manière, je lui dois beaucoup et le groupe lui doit beaucoup. Mais que veux-tu, les anglais ont une expression pour ça: « That’s  Band !!! », en français: « C’est ça un Groupe !!! ».

BB Cale

M – Guitare, trompette, harmonica, quoi d’autre encore ? Tu es tombé dans la marmite quand tu étais petit ?

BB Cale – J’ai commencé très jeune à pratiquer un instrument. D’abord le clairon, pendant 2 ans. Je faisais partie d’une fanfare dans le nord. Ensuite je suis passé à la trompette, pendant 5 ans. Et vers l’âge de 16-17 ans, je me suis mis à jouer de la guitare. Je jouais avec les copains, autour du feu de camp, c’était la mode !

Ma première rencontre, c’est avec un prof, j’avais 19 ans, et pendant 2 ans je prends des cours avec lui. Et puis je pars dans le sud. A cette époque, je jouais seul, dans mon coin, chez moi, du picking, Dadi.
En 2002, nouvelle rencontre, je me marie, ils sont tous musiciens dans cette famille, tous autodidactes. Ils avaient fait quelques concerts, chant, musique, ils jouent beaucoup en famille, Brassens, Nougaro et aussi du rock dans les bars. Et bien sûr, je joue avec eux et mon répertoire s’élargit.
En 2008, avec mon frère, nous ouvrons une boulangerie, le travail est très prenant, surtout au début, et je n’ai plus beaucoup de temps pour faire de la musique, j’arrête un peu.

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Solo harmonica sur Like a Hurricane

J’ai un fils qui s’est mis à la batterie, comme le fils de Jay, son prof, c’est Tony. En fin d’année, il était invité à une représentation d’élèves batteurs, je l’ai accompagné et c’est là que j’ai vu Appollo pour la première fois. Mais ce jour là on ne s’est pas parlé. C’est quelques temps après qu’il est passé à la boulangerie. Là, il y a eu un déclic, comme dans toutes les rencontres, le bon moment, la bonne personne ; on a sympathisé tout de suite et beaucoup discuté. Il connait tout et on a le même répertoire. C’est comme ça, par lui, que je suis entré dans le groupe, je retrouve des potes comme à 15 ans.
Tony , le bassiste, Appollo, le batteur, et Jeff , à la guitare électrique, étaient déjà là, j’étais le quatrième, je suis arrivé peu de temps avant Jay. C’était il y a 3 ans. On peut dire que le groupe tel qu’il est aujourd’hui s’est formé à ce moment là.

Nous avions un petit répertoire commun, tendance blues, rock, années 70, une dizaine de morceaux, des reprises. Notre premier « concert », c’est en 2018, à l’occasion d’une fête des voisins dans le quartier d’Appollo.

La création est venue un peu plus tard avec « Garance », la première composition du groupe. C’est à partir de là qu’on s’est mis à créer. On se sent beaucoup plus libre et à l’aise dans cette nouvelle démarche, il y a plus de liberté, chacun apporte quelque chose, on crée une ambiance, on donne de soi, c’est nous, c’est le groupe qui crée, c’est une implication plus profonde de chacun, une façon de se sortir d’une certaine blessure de la vie, un partage de valeurs. C’est une histoire d’amitié qui passe par la musique et la dépasse

  Jeff MAC KEY

M – Mis à part le « fondateur », tu es donc le plus ancien du groupe et pourtant le plus jeune en âge ! Et puis votre studio, c’est chez toi ! C’est une passion, la musique ?

Jeff Mac Key – « J’étais » le plus jeune. Mais avec le départ de Tony, il nous fallait un bassiste ; il y en a un nouveau depuis très peu de temps, et je ne suis plus le plus jeune.

J’ai commencé à aimer musique vers 6 ou 7 ans. J’écoutais le groupe « Queen » et j’étais complètement Fan de son guitariste Brian May. C’est lui qui m’a inspiré et donné envie de jouer de la guitare électrique. Il y a aussi Michel Sardou que j’aimais et me donnait envie d’aller dans ce sens.

Et j’ai aussi d’autres hobbys : je dessine des mangas en noir er blanc, je fais du vélo, j’aime la nature, les plantes, le monde associatif, je m’intéresse à l’astronomie, j’ai un télescope (305 mm) et je regarde les planètes et les étoiles.

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Garance version studio

Comment je me suis intégré au groupe NP’S ? C’est simple, je suis maçon et Jean Luc (Tony Palladino) avait fait appel à moi pour des travaux chez lui. C’était il y a 8 ou 9 ans, j’avais 25 ans.

Quand j’ai rencontré Tony, le groupe était déjà en train de se chercher autour de Tony, mais il y avait des entrées et des départs. C’est lui qui m’a fait rencontrer Appollo qui prenait des cours de batterie avec lui.  Pendant quelques temps le groupe comprend alors 4 musiciens, Tony, Appollo, moi-même et un jeune de 17 ans, Arthur. Guilhem et Bruno sont arrivés plus tard, Arthur n’était plus là, et depuis nous sommes 5.

Nous nous retrouvons tous les vendredi soir chez moi, on joue dans le studio que je me suis aménagé ainsi qu’un home cinéma ! On peut aussi jouer à l’extérieur, il y a de la place, c’est assez isolé, on ne gène personne. On vide les traces de la semaine ! Là on est un peu coupés du monde. Tu écoutes les infos, tu désespères. Etre entre amis, c’est le plus important ! Mais on garde quand même les pieds sur terre, on est créatifs et inventifs.

Notre objectif maintenant est de créer un album, on en est au 6ème enregistrement et on veut aller jusqu’à 11. C’est là qu’on prend le plus de plaisir, et quand on joue devant un public aussi.

Matt – (Guitare basse) – C’est Appollo qui nous le présente – C’est lui le plus jeune maintenant. Il est arrivé de fraiche date. Avec le départ de Tony, on n’avait plus de basse, il le remplace.

Matt est un jeune garçon très réservé mais c’est un très bon musicien, pianiste de formation, il joue aussi de la guitare et s’est mis à la Basse il y a peu de temps mais il est très doué. La musique c’est sa vie et il souhaite devenir musicien professionnel. Il a de très bonnes idées et un jeu très fin, proche des lignes de basse de Paul McCartney ou de Brian Wilson des Beach Boys.

 

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Conscience

M – Je me permets d’ajouter la photo de Mac Manus, très jeune et très doué guitariste, invité à se joindre au groupe à l’occasion d’un séjour de 3 mois à Nîmes. Il apparait dans quelques unes des vidéo de la page Facebook de NP’S.

https://www.facebook.com/164702710841187/videos/538774869904445/

 

Square One Solo

M – Appollo était dans le train, je ne sais où. Jay Jay Parker était ailleurs, peut-être chez lui, je ne sais plus. Ils étaient en conversation téléphonique, de quoi parlaient-ils, je n’en sais trop rien. Mais c’est au cours de cette conversation que leurs sont venues les paroles de ce blues.

ANGLAIS
Welcome on Board on the train ,  On the other hand
I come back way to my lane

I’m just a man who was lonely
In this train with peacefully

I escape from the judge and the jur
Ready to hear the Meddley ,

I ‘m just losing this party
I’m just going to be…..
To Fullfil One’s Duty
My Life lost The Beauty

This the blues of the train
The train that goes to Nowwhere

I Feel so much Pain
I’ve Got no Words To explain

This is the train of nowwhere

For all the pain I left Behind Me

And the people I’ve Known

I’ve Known for so longly

On the way Back from Nowwhere ,  in the other hand
My life is tied to a thread
I have the choice of my  train
Please don’t call the rain
Like free horses on plain
I have enough of this game
I keep my reasons and shame
At the rythm of the stations
I’ve got no more illusions
My mind, A vision
Calling all the stations
This the blues of the train
The train that goes to Nowwhere

When The Blues is cold and lonely
In the  silence I go, close to San jacinto
The Man who live in el dorado
I get lost , I get lost;
Into the fucking fog in my brain
Too much Rain in the train …….
My mind escape for My little spain
This feeling has no changed
Welcome on Board on the train ……..

FRANҪAIS

Bienvenue à bord du train,
D’autre part
Je reviens dans ma voie

Je ne suis qu’un homme seul
Dans ce train paisiblement
Je me suis échappé du juge et du jury

Prêt à entendre le Meddley,

Je suis juste en train de perdre cette fête
Je vais juste être….
Au service de mon travail

Ma vie a perdu la beauté

C’est le blues du train
Le train qui va Nulle part

Je ressens tellement de douleur
Je n’ai pas de mots pour l’exprimer

C’est le train de nulle part
Pour toute la douleur que j’ai laissée derrière moi
Et les gens que j’ai connu

Je les connais depuis si longtemps

Sur le chemin du retour de Nulle part , dans l’autre main
Ma vie est liée à un fil
J’ai le choix de mon train

S’il te plaît, n’appelle pas la pluie
Comme des chevaux libres dans la plaine
J’en ai assez de ce jeu

Je garde mes raisons et ma honte

Au rythme des stations
Je n’ai plus d’illusions
Mon esprit, une vision

Appeler toutes les stations

C’est le blues du train
Le train qui va à Nulle part

Quand le Blues est froid et solitaire
Dans le silence je m’enfonce , près de San Jacinto
L’homme qui vit à el dorado
Je me perds, je me perds

Dans ce putain de brouillard dans mon cerveau
Trop de pluie dans le train … ….
Mon esprit s’échappe pour ma petite Espagne
Ce sentiment n’a pas changé
Bienvenue à bord du train

M – Et demain, vers quels horizons  nouveaux  se tournent vos regards ?

JJ P – Un album, 12 titres, deux sont presque achevés, « False Road » et « Conscience », un autre est en cours, « Inévital » qui sera sans doute aussi le titre de l’album, et « Vortex », musique sans paroles. On visait la fin 2020, mais c’est vrai qu’avec le confinement qui met tout en panne, on ne sait pas trop à quand ça nous reporte.
M En attendant, on peut s’offrir quelques minutes encore avec « Little Princes » en live, non ?

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Little Princes

Un grand merci à tous pour votre disponibilité, votre patience – un an quand même que je vous fais poireauter pour boucler cette interview ! – et votre sympathie palpable dans tous les échanges que j’ai eus avec vous.

Mékilef

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