J’aime bien ces petites aquarelles peintes « sur le motif », une manière de communier avec les lieux.
Et bien sûr Bonifacio dont tu nous donnes une très belle interprétation toute ensoleillée. J’ai vu moi aussi ce site magnifique sous le même angle il y a très longtemps.
C’est vrai que c’est un bonheur de peindre ou dessiner « in situ », ça laisse une empreinte plus forte.Il y a longtemps que je n’ai pas fait ça en voyage, mais je l’ai fait il y a peu en Ardèche avec un ami artiste, on dessinait dans la nature sur un même lieu, à une petite distance l’un de l’autre, et on regardait ensuite le résultat.
Avoir ressorti la photo de cette toile me donne une sérieuse envie de revoir Bonifacio sous cet angle. Pas au programme actuellement, mais un de ces jours, qui sait ?
Merci Yves, j’ai aimé particulièrement ce lieu, et le moment où j’ai peint l’aquarelle. C’est vrai, on trouve dans ces deux aquarelles un style proche de ce que je fais actuellement.
AHHH ! Claude une bise spéciale pour Delphe ! Lieu magique que j’ai eu l’occasion de visiter en solitaire (oui, oui…) en 2004.
J’aime (plus) ta peinture quand elle évoque entre l’abstraction et le « réalisme »…
😉 Quelques très anciennes dont je retrouve la photo par hasard… Je n’avais pas pensé à la publier. Ce sont des toiles que je n’ai plus, et parfois, je n’ai pas de photos ou des photos très mauvaises.
Aujourd’hui, mon cœur bat pour Bonifacio, et cette sublime vision vue de la mer : c’est le point de vue du dauphin ?! Cette cité qui semble jaillir des flots avec force ressemble presque à un mirage … Quel était donc ce conte où une fillette trouve un coquillage sur la plage et, en le frottant, fait émerger une île ? Voilà, j’ai la mémoire qui flanche … Reste l’impression qui m’avait été dictée par mon imaginaire, impression qui se confond avec ce mirage corse.
Mais attention : j’aime toujours autant le temple de Delphes et sa lumière !!!
Je reconnais que la toile des Météores, aussi belle soit elle, me parle moins. Enfin, aujourd’hui …. 😉
Le point de vue du dauphin, oui, et aussi le nôtre, qui étions en balade en bateau au large de Bonifacio. ( il y a très longtemps ) Une photo à été prise qui m’a servi longtemps après pour cette toile.
Les aquarelles de Grèce sont petites, sur un petit carnet et avec une petite boîte d’aquarelle, pratique pour ne pas se charger en voyage quand on veut peindre sur place ( « sur le motif », comme on dit.)
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Je suis allé à Bonifacio, mais je ne l’ai jamais vue de la mer dans cette flamboyance ♥
Je viens de penser en voyant « les Météores » que je n’ai toujours pas ouvert ma boîte d’aquarelle 🙁 Mais je vais m’y mettre, hein, Claude.
Ouaip, t’as intérêt cher Castor, j’attends avec impatience ! 😉 Je suis sûre que ça va être magnifique.
J’aime bien ces petites aquarelles peintes « sur le motif », une manière de communier avec les lieux.
Et bien sûr Bonifacio dont tu nous donnes une très belle interprétation toute ensoleillée. J’ai vu moi aussi ce site magnifique sous le même angle il y a très longtemps.
C’est vrai que c’est un bonheur de peindre ou dessiner « in situ », ça laisse une empreinte plus forte.Il y a longtemps que je n’ai pas fait ça en voyage, mais je l’ai fait il y a peu en Ardèche avec un ami artiste, on dessinait dans la nature sur un même lieu, à une petite distance l’un de l’autre, et on regardait ensuite le résultat.
Je penche sérieux du côté de Bonifacio, vue de la mer… Un souvenir aussi, d’il y a très longtemps.
Superbe ensemble lumineux !
Avoir ressorti la photo de cette toile me donne une sérieuse envie de revoir Bonifacio sous cet angle. Pas au programme actuellement, mais un de ces jours, qui sait ?
J’aime bien ces aquarelles, lumineuses…
Merci… 🙂
Les météores m’impressionnent le plus. On trouve dans ces anciennes toiles les éléments de ton style actuel. Enfin, je trouve…
Merci Yves, j’ai aimé particulièrement ce lieu, et le moment où j’ai peint l’aquarelle. C’est vrai, on trouve dans ces deux aquarelles un style proche de ce que je fais actuellement.
AHHH ! Claude une bise spéciale pour Delphe ! Lieu magique que j’ai eu l’occasion de visiter en solitaire (oui, oui…) en 2004.
J’aime (plus) ta peinture quand elle évoque entre l’abstraction et le « réalisme »…
D’accord avec toi, Delphes est vraiment un lieu inspiré, j’aimerais y retourner.
Bonifacio ou les racines de la ville et Delphes dans toute sa lumière. Merci pour ce rappel à de si bons souvenirs que tu dépeints si bien.
Merci de ton passage Bruno ! 🙂
Je ne vois ce qu’il y aurait à ajouter derrière Cachou! Je ne connaissais pas ce paysage. Tu as encore beaucoup de toiles secrètes Claude? 🙂
😉 Quelques très anciennes dont je retrouve la photo par hasard… Je n’avais pas pensé à la publier. Ce sont des toiles que je n’ai plus, et parfois, je n’ai pas de photos ou des photos très mauvaises.
Aujourd’hui, mon cœur bat pour Bonifacio, et cette sublime vision vue de la mer : c’est le point de vue du dauphin ?! Cette cité qui semble jaillir des flots avec force ressemble presque à un mirage … Quel était donc ce conte où une fillette trouve un coquillage sur la plage et, en le frottant, fait émerger une île ? Voilà, j’ai la mémoire qui flanche … Reste l’impression qui m’avait été dictée par mon imaginaire, impression qui se confond avec ce mirage corse.
Mais attention : j’aime toujours autant le temple de Delphes et sa lumière !!!
Je reconnais que la toile des Météores, aussi belle soit elle, me parle moins. Enfin, aujourd’hui …. 😉
Le point de vue du dauphin, oui, et aussi le nôtre, qui étions en balade en bateau au large de Bonifacio. ( il y a très longtemps ) Une photo à été prise qui m’a servi longtemps après pour cette toile.
Les aquarelles de Grèce sont petites, sur un petit carnet et avec une petite boîte d’aquarelle, pratique pour ne pas se charger en voyage quand on veut peindre sur place ( « sur le motif », comme on dit.)