Une architecture très contemporaine pour les nouveaux locaux de l’enfer dans lequel le feu a pris subitement après des travaux de restauration. L’architecte a voulu conserver l’idée de « descente aux enfers » toujours dans l’imaginaire des pêcheurs d’ici-bas.
L’avantage avec certaines « restaurations », c’est qu’après tout est refait vraiment à neuf. Accessoirement ça coûte « un pognon de dingue », mais apparemment, du pognon on en avait …. !! ça aussi, c’est dingue !
Catherine (inta)
5 années il y a
Il fallait terminer ce chef d’oeuvre d’architecture rapidement. Malheureusement, le toboggan s’était égaré en route, le camion ayant disparu sur l’A20. Qu’allions nous poser en attendant? Il était impensable que les clients utilisent ces marches strictement décoratives, vestige d’un autre temps……………………….. Euh! ch’uis pas franchement inspirée mais j’aime bien la photo!
C’était pourtant bien parti 🙂
Oui, moi aussi je l’aime bien !!!
Lang-Bringer Anne
5 années il y a
Moi je me demande si tu t’es fait enfermer dans la station pour prendre la photo la nuit, parce que des couloirs aussi vides dans le métro, il faut les trouver !!
Ou alors, comme tu rajoutes des landaus, tu as gommé les usagers encombrants ?
Cela dit, vu comme ça, c’est beau… le métro !! Sobre, classe et graphique ! Propre aussi…
Oh, c’est très simple … Il suffit de prendre une entrée latérale de RER, un dimanche ensoleillé, pendant que les badauds badaudent en tous sens au-dessus tels des fourmis affairées, piétinant sur les quais, comme tu viens de le faire toi-même, regardant sans la voir vraiment la Seine, l’île de la Cité, et Notre-Dame, et sans te douter que ce serait la dernière fois …
L’odyssée de l’espace souterrain – intérieur jour artificiel
l’ascenseur est en panne,
(je m’en fous je n’aime pas les ascenseurs)
la lumière subsiste mais va s’éteindre dans quelques secondes, quelques minutes tout au plus,
les marches glissent vers le bas, et moi aussi
vers une porte,
plus large que haute.
Le fantôme du lavabo attend pour surgir………………………. Non !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
La séquence des escaliers d’Odessa dans « le cuirassé Potemkine »
Ou encore
La petite dame avec son landau dans le RER: il est 18 h et elle attend que tout le monde ait fini de passer ou qu’on lui donne un coup de main pour descendre.
Impossible de copier ta photo pour y coller ma poussette.
Ah ! Oui ! Quand même ! C’était ça que je voulais faire si j’avais réussi à te piquer ta photo!
Bon alors je fais pas trop la gueule.
Mais quand même, au risque de me répéter, pourquoi pas aussi en faire une animation avec le landau qui descend qui descend de plus en plus vite et se renverse et le bébé tombe et roule jusqu’en bas des escaliers et derrière les soldats du tsar de toutes les Russies qui tirent sur la foule en descendant les marches derrière le landau, et les escaliers sont jonchés de cadavres de tous ces braves gens qui ne demandaient que le minimum pour vivre décemment !
Ca serait presque de l’actualité, … bon mais n’exagérons rien, on n’en est pas là en France, ya pas le feu,… enfin si justement, ce soir y a 1000 ans d’histoire qui brulent !!!
J’arrête parce que là je déraille et je vais rater un marche !
Les escaliers de métro ont toujours un nombre impair de marches. Moi qui aime tant les nombres pairs. Les nombres impairs sont froids, gris acier et plein d’aspérités qui écorchent la mémoire. D’ailleurs, l’escalier est gris, d’un gris de nombre impair.
Je vais le descendre comme si de rien n’était. Et sans me tenir à la rampe, tiens !
Je n’aime pas les escaliers qui descendent.
Super ! je crois qu’ils repassent « Subway » … !
Au moins, c’est fort en végétal !
Lieu de villégiature pour chlorophobe ….
Ça existe ça, des chlorophobes ? Les pôvres…
Une architecture très contemporaine pour les nouveaux locaux de l’enfer dans lequel le feu a pris subitement après des travaux de restauration. L’architecte a voulu conserver l’idée de « descente aux enfers » toujours dans l’imaginaire des pêcheurs d’ici-bas.
L’avantage avec certaines « restaurations », c’est qu’après tout est refait vraiment à neuf. Accessoirement ça coûte « un pognon de dingue », mais apparemment, du pognon on en avait …. !! ça aussi, c’est dingue !
Il fallait terminer ce chef d’oeuvre d’architecture rapidement. Malheureusement, le toboggan s’était égaré en route, le camion ayant disparu sur l’A20. Qu’allions nous poser en attendant? Il était impensable que les clients utilisent ces marches strictement décoratives, vestige d’un autre temps……………………….. Euh! ch’uis pas franchement inspirée mais j’aime bien la photo!
C’était pourtant bien parti 🙂
Oui, moi aussi je l’aime bien !!!
Moi je me demande si tu t’es fait enfermer dans la station pour prendre la photo la nuit, parce que des couloirs aussi vides dans le métro, il faut les trouver !!
Ou alors, comme tu rajoutes des landaus, tu as gommé les usagers encombrants ?
Cela dit, vu comme ça, c’est beau… le métro !! Sobre, classe et graphique ! Propre aussi…
Oh, c’est très simple … Il suffit de prendre une entrée latérale de RER, un dimanche ensoleillé, pendant que les badauds badaudent en tous sens au-dessus tels des fourmis affairées, piétinant sur les quais, comme tu viens de le faire toi-même, regardant sans la voir vraiment la Seine, l’île de la Cité, et Notre-Dame, et sans te douter que ce serait la dernière fois …
L’odyssée de l’espace souterrain – intérieur jour artificiel
l’ascenseur est en panne,
(je m’en fous je n’aime pas les ascenseurs)
la lumière subsiste mais va s’éteindre dans quelques secondes, quelques minutes tout au plus,
les marches glissent vers le bas, et moi aussi
vers une porte,
plus large que haute.
Le fantôme du lavabo attend pour surgir………………………. Non !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Un petit côté Alice au Pays des Merveilles ! A un lapin blanc près, bien sûr …
J’peux pas, j’ai piscine. Renversant, non ?
Dans les piscines, je n’avais jusque là vu que des hublots ronds…
Provinciale, va …..
Ben oui 🙂
Stairway to hell.
La séquence des escaliers d’Odessa dans « le cuirassé Potemkine »
Ou encore
La petite dame avec son landau dans le RER: il est 18 h et elle attend que tout le monde ait fini de passer ou qu’on lui donne un coup de main pour descendre.
Impossible de copier ta photo pour y coller ma poussette.
Encore toutes mes excuses pour avoir effacé ton landau 🙁
Ah ! Oui ! Quand même ! C’était ça que je voulais faire si j’avais réussi à te piquer ta photo!
Bon alors je fais pas trop la gueule.
Mais quand même, au risque de me répéter, pourquoi pas aussi en faire une animation avec le landau qui descend qui descend de plus en plus vite et se renverse et le bébé tombe et roule jusqu’en bas des escaliers et derrière les soldats du tsar de toutes les Russies qui tirent sur la foule en descendant les marches derrière le landau, et les escaliers sont jonchés de cadavres de tous ces braves gens qui ne demandaient que le minimum pour vivre décemment !
Ca serait presque de l’actualité, … bon mais n’exagérons rien, on n’en est pas là en France, ya pas le feu,… enfin si justement, ce soir y a 1000 ans d’histoire qui brulent !!!
J’arrête parce que là je déraille et je vais rater un marche !
Waouh, quel beau film !
Les escaliers de métro ont toujours un nombre impair de marches. Moi qui aime tant les nombres pairs. Les nombres impairs sont froids, gris acier et plein d’aspérités qui écorchent la mémoire. D’ailleurs, l’escalier est gris, d’un gris de nombre impair.
Je vais le descendre comme si de rien n’était. Et sans me tenir à la rampe, tiens !
Je n’aime pas les escaliers qui descendent.
Maestro ….. J’adore les aspérités qui écorchent la mémoire, ça ne veut délicieusement rien dire !!!
C’est vrai que
La petite bête qui monte …
qui monte …
qui monte …
Guili guili guiliiii !
C’est beaucoup plus rigolo !