Deux ambiances différentes. Forêt d’été aux sous-bois lumineux et parfumés. Forêt intemporelle, immuable avec quand même cette trouée, comme vers un avenir. Tu mets des choses dans tes aquarelles !
C’est tellement beau que ça me regonfle pour la journée. À propos de forêts primaires, il faudra lire Sarah Marquis « À la recherche du loup de Tasmanie »… (je ne sais pas s’il est sorti).
Fze
L’éclat des couleurs de la Forêt est stupéfiant et donne l’envie de s’abandonner sous sa frondaison enchanteresse. Quant au rendu sombre des futs des arbres un peu inquiétants de la forêt primaire il laisse entrevoir tous les mystères et les craintes qu’elle inspire. Mais le ciel transparaît au delà des cimes. La lumière pénètre ce domaine sauvage comme pour atténuer son inhospitalité naturelle.
J’ai envie depuis longtemps de visiter une de ces forêts primaires « ou la main de l’homme n’a pas mis le pied » si j’ose dire, celle de la Sainte Baume par exemple, avec l’aide d’un forestier pour ne pas me perdre au sens premier du mot, justement ! Mais elle est interdite au public, forcément ! 😉 Du coup je me contente de photos et de mon imagination !
Merci pour ta visite Sergent.
Je viens de faire une recherche, et apparemment, la forêt de la Sainte Baume en Provence est accessible, bonne nouvelle.
Mékilef
5 années il y a
Elles sont belles tes forêts et j’aime bien m’y balader, en forêt. Mais pour la balade, je préfère qu’il y ait un chemin un peu praticable, sinon …
Et puis c’est bien aussi quand on débouche sur une clairière qui ouvre la vue sur les montagnes au loin !
Elles me donnent des envies de grandes randonnées tes forêts. C’est une idée qui me trotte dans la tête depuis quelques temps ça !
Il faut les faire ces randonnées !
J’aimais beaucoup me balader en forêt à Viroflay ( Meudon Chaville Versailles ) quand j’y habitais, et les sentiers étaient bien tracés et sans difficulté. C’est sûr que c’est plus facile pour marcher.
Catherine (inta)
5 années il y a
Elles sont belles tes forêts, celles qui sont roses et qui évoquent les licornes et celles qui font peur aux hérissons! 🙂
C’est magnifique ! Une vraie forêt se doit de faire un peu peur, de garder du mystère, de susciter l’existence d’une vie invisible et sauvage… sinon, c’est un jardin !
Eh bien moi je la trouve plutôt effrayante, cette forêt primitive ! Belle sur le papier, mais je n’aurais guère l’envie de m’y engager. Et puis, je suis sûre qu’elle grouille de bestioles peu avenantes, c’est une forêt de cauchemar d’enfant !! J’en resterai donc à une phase contemplative, admirative, …. et prudente !
Par contre la première !!! Ah oui ! Elle semble de plus rassembler toutes les saisons, toutes leurs teintes et leurs lumières. C’est une forêt de rêve, donc ! Alors je veux y entrer, on doit y croiser des licornes, des elfes, des lutins taquins, tout ça …. Je suis pour 🙂
Ta « forêt primitive » est tout simplement admirable, ses tons, ses lignes, l’atmosphère qui s’en dégage. Ta « forêt » l’est également mais elle me semble moins secrète ; et je m’imagine en promenade forestière dans l’une et l’autre et je me perds davantage dans le primitif, et se perdre en forêt est délicieux.
Bravo Claude, c’est vraiment de la belle oeuvre !
Je suis presque déçue de savoir que ce sont des « petits 20 x 30 » :-))
22 x 33, ce n’est pas petit pour une aquarelle sur papier, c’est le format d’un bloc de dessin moyen, c’est aussi le format habituel des aquarelles de Türner ( LA référence absolue ! 🙂 ).
Oui, se perdre en forêt est délicieux… Mais on n’a malheureusement pas l’occasion de se perdre dans des forêts primaires en France, il y en a en Pologne, et en France, des essais de forêts laissées sans intervention humaine, dans le massif de la Sainte Baume en Provence par exemple, mais interdites au public. Ca me fascine les forêts primaires.
Tu t’es déjà perdue en forêt ? ….
Parce que moi j’y ai perdu mon beau-père, c’était il y a quelques décennies, et à la nuit tombée, il a bien fallu aller à la gendarmerie … Quand on a fini par le faire sortir du bois grâce aux gyrophares qui l’ont guidé, le patriarche avait bien perdu de sa superbe, je peux te l’assurer !!!
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Deux ambiances différentes. Forêt d’été aux sous-bois lumineux et parfumés. Forêt intemporelle, immuable avec quand même cette trouée, comme vers un avenir. Tu mets des choses dans tes aquarelles !
Avec un pinceau, on peut dire beaucoup de choses.
La primitive : illustrerait parfaitement certains contes pour enfants…
C’est beau… et la première a un petit côté aquatique, je trouve
C’est fluide, oui…
Pour rêver.
Merci Denise.
C’est tellement beau que ça me regonfle pour la journée. À propos de forêts primaires, il faudra lire Sarah Marquis « À la recherche du loup de Tasmanie »… (je ne sais pas s’il est sorti).
Fze
🙂 Merci Françoise !
Je regarderai si je trouve ce livre.
Trop belles, tes forêts ♥♥♥
La deuxième doit être pleine de loups-garous.
Tant que ce ne sont pas des castors-garous ! 😉
Merci pour ton passage Castor. 🙂
On s’y évade avec les yeux, dans tes forêts, avec grand plaisir. Elles me font rêver, surtout la première, avec ses couleurs lumineuses ******
Merci Colette !
L’éclat des couleurs de la Forêt est stupéfiant et donne l’envie de s’abandonner sous sa frondaison enchanteresse. Quant au rendu sombre des futs des arbres un peu inquiétants de la forêt primaire il laisse entrevoir tous les mystères et les craintes qu’elle inspire. Mais le ciel transparaît au delà des cimes. La lumière pénètre ce domaine sauvage comme pour atténuer son inhospitalité naturelle.
J’ai envie depuis longtemps de visiter une de ces forêts primaires « ou la main de l’homme n’a pas mis le pied » si j’ose dire, celle de la Sainte Baume par exemple, avec l’aide d’un forestier pour ne pas me perdre au sens premier du mot, justement ! Mais elle est interdite au public, forcément ! 😉 Du coup je me contente de photos et de mon imagination !
Merci pour ta visite Sergent.
Je viens de faire une recherche, et apparemment, la forêt de la Sainte Baume en Provence est accessible, bonne nouvelle.
Elles sont belles tes forêts et j’aime bien m’y balader, en forêt. Mais pour la balade, je préfère qu’il y ait un chemin un peu praticable, sinon …
Et puis c’est bien aussi quand on débouche sur une clairière qui ouvre la vue sur les montagnes au loin !
Elles me donnent des envies de grandes randonnées tes forêts. C’est une idée qui me trotte dans la tête depuis quelques temps ça !
Il faut les faire ces randonnées !
J’aimais beaucoup me balader en forêt à Viroflay ( Meudon Chaville Versailles ) quand j’y habitais, et les sentiers étaient bien tracés et sans difficulté. C’est sûr que c’est plus facile pour marcher.
Elles sont belles tes forêts, celles qui sont roses et qui évoquent les licornes et celles qui font peur aux hérissons! 🙂
Thanks Catherine ! 🙂
C’est magnifique ! Une vraie forêt se doit de faire un peu peur, de garder du mystère, de susciter l’existence d’une vie invisible et sauvage… sinon, c’est un jardin !
Merci Anne !
Eh bien moi je la trouve plutôt effrayante, cette forêt primitive ! Belle sur le papier, mais je n’aurais guère l’envie de m’y engager. Et puis, je suis sûre qu’elle grouille de bestioles peu avenantes, c’est une forêt de cauchemar d’enfant !! J’en resterai donc à une phase contemplative, admirative, …. et prudente !
Par contre la première !!! Ah oui ! Elle semble de plus rassembler toutes les saisons, toutes leurs teintes et leurs lumières. C’est une forêt de rêve, donc ! Alors je veux y entrer, on doit y croiser des licornes, des elfes, des lutins taquins, tout ça …. Je suis pour 🙂
Des licornes, des elfes et des lutins ! Ah oui, ça pourrait animer une balade ce genre de rencontre ! 😉
Ta « forêt primitive » est tout simplement admirable, ses tons, ses lignes, l’atmosphère qui s’en dégage. Ta « forêt » l’est également mais elle me semble moins secrète ; et je m’imagine en promenade forestière dans l’une et l’autre et je me perds davantage dans le primitif, et se perdre en forêt est délicieux.
Bravo Claude, c’est vraiment de la belle oeuvre !
Je suis presque déçue de savoir que ce sont des « petits 20 x 30 » :-))
22 x 33, ce n’est pas petit pour une aquarelle sur papier, c’est le format d’un bloc de dessin moyen, c’est aussi le format habituel des aquarelles de Türner ( LA référence absolue ! 🙂 ).
Oui, se perdre en forêt est délicieux… Mais on n’a malheureusement pas l’occasion de se perdre dans des forêts primaires en France, il y en a en Pologne, et en France, des essais de forêts laissées sans intervention humaine, dans le massif de la Sainte Baume en Provence par exemple, mais interdites au public. Ca me fascine les forêts primaires.
Pour des aquarelles, 22 x 33 c’est bien. Pour des forêts, c’est pas terrible 🙂
Ouaip, mais quand je peins les arbres à l’huile, ça fait 1m60… 😉
Tu t’es déjà perdue en forêt ? ….
Parce que moi j’y ai perdu mon beau-père, c’était il y a quelques décennies, et à la nuit tombée, il a bien fallu aller à la gendarmerie … Quand on a fini par le faire sortir du bois grâce aux gyrophares qui l’ont guidé, le patriarche avait bien perdu de sa superbe, je peux te l’assurer !!!
Faudrait voir à pas tout perdre quand tu te promènes en forêt !