Le temps qui passe, … vite, … très vite. Il y a des moments, comme ça, où des petits évènements et coïncidences vous font un clin d’oeil. Au hasard ces photos que je découvre et ce que je viens de lire dans le bref avant-propos de « Au-delà de cette limite, votre ticket n’est plus valable « .
J’ai cru moi aussi à un quartier d’orange ou un fossile traficoté avec je ne sais quel logiciel.
Belles photos avec n’importe quoi ! Pfff !
Très impressionnant, et une très belle idée !
Les premières photos m’ont fait penser à ce petit nudibranche finement nommé « danseuse espagnole ». De plus, sa ponte ressemble à une rose :
Magnifique ! Spécial aussi… Mais magnifiques, la langue et ses postillons…oh pardon, ses pontes-roses…
SergentPoivre
4 années il y a
Faire une composition sur le thème de la décomposition fallait y penser. Très belle photos en tout cas.
Au premier regard sur la photo d’entame j’ai cru que c’était un étrange quartier de clémentine…
Les photos sont incroyables ! Quelle belle idée ! Et quelle élégance, ce rouge flamenco. La forme des pétales m’a aussi fait penser aux feuilles de gingko, autre symbole de finesse et de force éphémère.
La fleur de coquelicot est spéciale…une des rares à ne pas pouvoir être conservée dans un vase. Elle suggère donc la symbolique d’un éphémère pérenne :-)))..superbe! Merci…Le poème est très beau aussi.
Même le pied dans le sol, le coquelicot est éphémère. Mais il foisonne tellement et si longtemps que, oui, on peut parler de pérennité !
boudune
4 années il y a
Que c’est beau, l’usure, le temps qui passe, l’effacement. Belle idée et le résultat… Certaines images forment un motif japonisant, on imagine très bien un obi avec ces motifs. Ou, bien sûr un éventail.
Magnifique !! Comment tu as fait ça ? Tu as délicatement déposé un pétale sur de l’eau et surveillé chaque jour le résultat ?
L’avant-dernière photo est superbe : ce n’est pas une « fin de vie » mais une réincarnation ! Dans ces bulles se cache une autre forme de vie : rien ne meurt vraiment dans la nature !
En tous cas, c’est une idée merveilleuse que tu as eue là …
J’ai laissé faire les fleurs et l’eau, voisines, et le vent… Et j’ai vu, puis surveillé les nombreux pétales – car ils sont nombreux à s’envoler et se poser délicatement.
Cette réincarnation, pour employer ton terme, est rapide : 24 h pour passer du stade rouge éclatant au stade translucide porté par les bulles, puis presque rien qui n’imprime qu’à peine la pellicule.
Ah, mais tu sais que le titre m’avait fait légèrement flipper !
Magnifique idée, j’avais fait une série une fois avec des roses, mais ce seul pétale de coquelicot qui fane doucement, avec une disparition des couleurs et un graphisme dentelé, c’est une merveille de poésie.
J’y ai pensé, que le titre pourrait faire flipper. Puis j’ai pensé qu’on savait que l’Espricerie qui se rit n’était pas le lieu où poser des flipperies… 🙂
Le temps qui passe, … vite, … très vite. Il y a des moments, comme ça, où des petits évènements et coïncidences vous font un clin d’oeil. Au hasard ces photos que je découvre et ce que je viens de lire dans le bref avant-propos de « Au-delà de cette limite, votre ticket n’est plus valable « .
J’ai cru moi aussi à un quartier d’orange ou un fossile traficoté avec je ne sais quel logiciel.
Belles photos avec n’importe quoi ! Pfff !
Très impressionnant, et une très belle idée !
Les premières photos m’ont fait penser à ce petit nudibranche finement nommé « danseuse espagnole ». De plus, sa ponte ressemble à une rose :
M’enfin ? Garnement ? Veux-tu bien arrêter de tirer la langue sur L’Espricerie ?!
😂
Chargée, la langue ^^ C’est un lendemain de cuite, ça !
Magnifique ! Spécial aussi… Mais magnifiques, la langue et ses postillons…oh pardon, ses pontes-roses…
Faire une composition sur le thème de la décomposition fallait y penser. Très belle photos en tout cas.
Au premier regard sur la photo d’entame j’ai cru que c’était un étrange quartier de clémentine…
Ben ouais, je pense beaucoup :-))))))))))
Magnifiques ces éventails !
Ouaip 🙂 ! Merci Sylvie.
Les photos sont incroyables ! Quelle belle idée ! Et quelle élégance, ce rouge flamenco. La forme des pétales m’a aussi fait penser aux feuilles de gingko, autre symbole de finesse et de force éphémère.
Une idée non préméditée 🙂
La fleur de coquelicot est spéciale…une des rares à ne pas pouvoir être conservée dans un vase. Elle suggère donc la symbolique d’un éphémère pérenne :-)))..superbe! Merci…Le poème est très beau aussi.
Même le pied dans le sol, le coquelicot est éphémère. Mais il foisonne tellement et si longtemps que, oui, on peut parler de pérennité !
Que c’est beau, l’usure, le temps qui passe, l’effacement. Belle idée et le résultat… Certaines images forment un motif japonisant, on imagine très bien un obi avec ces motifs. Ou, bien sûr un éventail.
La dégradation due au temps qui passe devrait toujours être aussi douce et belle…
On dirait des motifs d’éventails… de jupes… de voilages… d’ailes de papillons… Quelle patience !
Oui, ça ressemble à tout ça…
Et aussi aux feuilles de ginkgo…
Belle série du temps qui passe…….ça m’a rappelle mon artichaut…
Photos superbes.
Ah oui, ton artichaut :-).
Merci Nidjittt !
Aile de papillon écarlate
Comme éphémère
Finit sa vie
En papillon de nuit…
Joli poème, merci !
Magnifique !! Comment tu as fait ça ? Tu as délicatement déposé un pétale sur de l’eau et surveillé chaque jour le résultat ?
L’avant-dernière photo est superbe : ce n’est pas une « fin de vie » mais une réincarnation ! Dans ces bulles se cache une autre forme de vie : rien ne meurt vraiment dans la nature !
En tous cas, c’est une idée merveilleuse que tu as eue là …
J’ai laissé faire les fleurs et l’eau, voisines, et le vent… Et j’ai vu, puis surveillé les nombreux pétales – car ils sont nombreux à s’envoler et se poser délicatement.
Cette réincarnation, pour employer ton terme, est rapide : 24 h pour passer du stade rouge éclatant au stade translucide porté par les bulles, puis presque rien qui n’imprime qu’à peine la pellicule.
Ah, mais tu sais que le titre m’avait fait légèrement flipper !
Magnifique idée, j’avais fait une série une fois avec des roses, mais ce seul pétale de coquelicot qui fane doucement, avec une disparition des couleurs et un graphisme dentelé, c’est une merveille de poésie.
J’y ai pensé, que le titre pourrait faire flipper. Puis j’ai pensé qu’on savait que l’Espricerie qui se rit n’était pas le lieu où poser des flipperies… 🙂