LA VOIE LACTÉE. Aquarelle sur papier népalais. 12 x 16 cm. Juin 2018.
BRUME DE CHALEUR SUR LA BAIE. Aquarelle sur papier népalais. 12 x 16 cm. Juin 2018.
NUIT, ORAGE SUR LA BAIE. Aquarelle sur papier. 21 x 15 cm. Juin 2018.
MER, OMBRE ET LUMIÈRE.Aquarelle sur papier chiffon indien. 21 x 21 cm. Juin 2018.
C’est du ciel que je vois, dans la dernière. Et ça me va pour plonger 🙂
J’aime lorsque tu t’éloignes un peu de la pure abstraction pour nous livrer des évocations dans lesquelles on peut voyager… les déclinaisons de « La Baie » par exemple ;0))
La baie, c’etait peint « sur le motif » comme on dit, par la terrasse de ma location d’été. Ça a le charme du saisi sur le moment.
Sinon je ne suis jamais vraiment dans l’abstraction pure, je flirte avec, tout au plus… 🙂
Je ne sais ce qui t’anime quand tu peins mais il y a dans Mer, ombre et lumière plus de force que dans les autres ; et dans La Voie Lactée, une ellipse qui en dit long sur l’impossibilité à restituer le sublime.
J’aime beaucoup ta voie lactée, qui semble n’avoir aucune aspérité. la texture me surprend et la lumière est belle. Et je ne saurais pas te dire pourquoi mais le minimalisme marin de la dernière me plaît!
Le ciel et la mer, quoi de plus pour un été parfait ?
Merci Catherine…
En général j’aime moins les couleurs estivales, en réel toujours plus fades et sèches que les 3 autres saisons. Mais tes quatre toiles me fascinent et tu réussis à me faire apprécier les lumières de l’été.
J’aime particulièrement la première : cette voie lactée que j’imagine s’échouant sur des dunes de sable incandescent.
Merci Cécile…
Moi non plus, l’idée de peindre l’été ne me séduisant pas tellement, j’imagine surtout beaucoup de vert pour les feuillages, et du coup, je trouve ça monotone en peinture.
Avec la mer et le ciel, l’été s’est imposé sans que j’y pense.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que l’été t’inspire ! Quatre toiles aux lumières très différentes, chacune avec sa chaleur propre, son ambiance, son heure … Mais ma préférée est la dernière, cette « mer, ombre et lumière » qui transcende toute la puissance, fascinante, attirante et menaçante à la fois, de la mer. Indomptable, sauvage, imprévisible et semblant même dicter aussi sa loi au ciel … Tout y est ! Manque juste la senteur iodée 🙂
Avec un petit « reproche » cependant, c’est que sur chacune de ces toiles ta signature et la date prennent trop de place, je trouve. Et sur la dernière toile, que j’aime particulièrement, cela me « gêne » encore plus : ça m’empêche de plonger !!!!
Ben zut alors ! Je suis désolée de t’empêcher de plonger…
Signer ou pas, c’est la question. Chaque fois que quelqu’un a acquis une peinture non signée, il m’a demandé de signer, et la plupart du temps, je n’ai pas ce qu’il faut pour le faire, puisque je signe avec un pinceau et de la peinture, aquarelle, huile ou acrylique selon la peinture. Du coup, je signe et date systématiquement à la fin de chaque peinture.
Ici, en plus, le format est très petit ( de 12 x 16 cm à 21 x 21 cm) du coup, la signature semble occuper plus de place que sur une toile d’un mètre soixante de haut ! Même au pinceau fin, cette signature est déjà très petite, imagine… Je choisis sa place dans la composition générale, mais c’est vrai qu’elle « ferme » un peu la peinture…
Sinon il y a les icônes qu’on ne signe jamais, du coup ça ne me pose plus problème, mais je ne peins plus d’icônes.
Voilà une bien longue réponse pour un sujet qui paraît mince à priori…
Sinon merci pour ton commentaire ! 🙂
Ben non, c’est justement pas une mince affaire !!!! …. Voilà une question que je suis contente d’avoir soulevée 😉
Tiens, Cachounette. Pour une plongée décontrastée. N’oublie pas de remettre la signature de Claude après visionnage.
😄