Où sont les pattes, où sont les petits épis de folle avoine ?
Vert et vert se superposent…
Nervures des feuilles et stries des élytres se confondent…
Mais l’oeil, hein, l’oeil, toujours nous regarde !
Et hop, rétablissement sur les pattes !
J’avais loupé ces belles photos de la belle. Oui oui, elle est venue s’inviter chez moi, c’est une gourmande 🙂
Très belle série, dont notre Cécile a le secret. Il fallait avoir l’œil, là ♥
Alors SPÉCIALEMENT pour Joëlle, une photo d’une mienne amie à moi que j’ai, une sauterelle à couteau de belle taille :
Magnifique photo pour chosette minuscule par rapport à moi, mais qui me fait flipper à mort. Phobique un jour, phobique toujours.
Sauterelle sauteuse sautant sur une tige – saute dans ma sauteuse et vite te figes!
Vu la prolifération de ces « machines a sauter » et de nos autres soucis écologiques, nous viendrons vite à nous nourrir d’insectes bien croustillantes…bon app’!
Les photos sont magnifiques et incitent au poétique !
Magnifique ! Quand j’étais petit, on les appelait « sauterelles à couteau » … Ça nous impressionnait !
Belle séquence. Les prouesses acrobatiques de cette sauterelle nous tiennent en haleine comme au cirque !
Et puis le mimétisme bien sûr, elle se confond presque totalement avec les tiges d’herbe.
Et puis la qualité des photos, comme toujours.
C’est dingue comme cette sauterelle se fond complètement avec la plante, par la forme et la couleur, mimétisme total et parfait, surtout sur la première et la troisième photo. Fascinant. Petit robot vert tout en pointes à l’oeil vif, un peu inquiétant.
Sur la première photo, je ne l’avais, sur l’instant, pas vue du tout !
J’admire à la fois la qualité des photos, et l’extraordinaire précision de cette machine à sauter. C’est finalement d’une laideur magnifique !!!