J’aurais tendance à préférer la première photo en noir et blanc,mais d’un autre côté je trouve que l’arbuste perd alors ses détails : il parait plus dense, trop compact.
Les traces sur la neige, indéniablement, requièrent (à mon humble avis) du noir et blanc ! sinon l’oeil se trouve inutilement attiré par l’ombre bleu foncé en haut de l’image.Et puis,surtout, la couleur n’apporte rien de plus au tableau. Elle enlève, au contraire !
Quant à la troisième, elle est naturellement si faible en couleurs que, paradoxalement, la teinte si douce du bois met en valeur le graphisme des lignes.
Mais il est vrai qu’il est souvent difficile de choisir entre 2 visions, et la tentation de tout garder est grande!
Brigitte & Maurice
1 année il y a
Comme le prélude de Debussy, les pas sur la neige semblent évoquer un sentiment de douceur et de plénitude !
J’aime tes images simples et pourtant si bien trouvées. La dernière surtout.
Couleur ou noir et blanc ?
en fonction du sujet, non ?
Simplement beau, ça parait tellement simple.
Et dans cette simplicité, je trouve le noir et blanc plus juste.
J’aurais tendance à préférer la première photo en noir et blanc,mais d’un autre côté je trouve que l’arbuste perd alors ses détails : il parait plus dense, trop compact.
Les traces sur la neige, indéniablement, requièrent (à mon humble avis) du noir et blanc ! sinon l’oeil se trouve inutilement attiré par l’ombre bleu foncé en haut de l’image.Et puis,surtout, la couleur n’apporte rien de plus au tableau. Elle enlève, au contraire !
Quant à la troisième, elle est naturellement si faible en couleurs que, paradoxalement, la teinte si douce du bois met en valeur le graphisme des lignes.
Mais il est vrai qu’il est souvent difficile de choisir entre 2 visions, et la tentation de tout garder est grande!
Comme le prélude de Debussy, les pas sur la neige semblent évoquer un sentiment de douceur et de plénitude !
Cela m’évoque des photos ramenées de l’Aubrac par deux amies et à qui j’ai dédié ces quelques vers. Dédiés à toi aussi, alors !
Au silence de leur Aubrac
aux langues de lumières
à la solitude barbelée de la neige
aux traces de pas
sur le rivage des rivières
L’Aubrac, c’est magnifique ! Merci Colette pour ces quelques vers.
Une ode à la lumière à la neige et à la solitude. Tout est dit dans ces 4 vers. Je garde ça sur mon carnet.