Histoire sans parole
Histoire sans parole
Marie-Cécile, ton bécasseau m’a inspirée ! sa détermination, surtout !
Merci Hélène ! Il est beau ton bécasseau.
J’aime bien quand ton bécasseau sanderling marche; on dirait qu’il a quelqu chose à faire !
Un reportage photographique un tantinet « gravelot », non ?
Bécasseau plutôt, Albert, bécasseau 🙂
Suis venue reprendre, encore une fois, une ‘tite piquouse d’océan. Je ne m’en lasse pas, de cette page. Addict ?
Sûrement ! Mais avec l’Océan, rien à craindre …
grandiose simplicité, super !
Merci Framboize 🙂 .
Il est plus de 18 heures et je suis sur une plage avec des potes, nananèèèèreuh.
Et sens-tu ce vent qui te décoiffe ?
C’est donc pour ça, ce rhume depuis quelques jours !
Que c’est beau ! Et tu as l’oeil pour nous révéler des forêts dans le sable ***** (enfin, moi, c’est ce que je vois)
Tu vois bien ce que j’ai vu : des arbres, des forêts, sculptés par le vent dans le sable.
Merci Colette !
Des couleurs chaudes pour une scène de mer, c’est un hommage très délicat. Un ravissement.
J’ai connu une personne qui jacassait à tort et à travers, un vrai bec à sot.
Des couleurs chaudes pour une mer glaciale en ce jour de décembre…
Merci mon castor !
M’enfin … Sur la première photo, ça serait-y pas un hélicoptère, cet oiseau en plein milieu ?!!!
Ben si !
Un hélicoptère limicole ;-))
j’avais loupé ça, bravo…
Je les ai regardées intensément, les unes après les autres, et le bien que ça fait. Moi aussi la mer me manque affreusement, ma mer, ma chère manche des côtes d’armor. Je reviendrai prendre ce grand bol d’iode, compte sur moi. Et j’aime beaucoup cet or lumineux, ces reflets diaprés partout. Merci madame.
Reviens donc quand tu veux car y’a pas de mal à se faire du bien 🙂
Quand je serai grande, je serai un bécasseau. Et pis c’est tout ….
C’est trop beau, je retourne pleurer dans mon coude. Ma mer me manque trop.
Il est libre, Lui, il est libre, Lui
Y’en a même qui l’ont vu voler…
Ouais, t’as raison, être un bécasseau c’est pas mal du tout, même quand on est petit…
Mais ne pleure pas, ta mer sera toujours là.
… de plus en plus là, il semblerait.
Tes photos nous permettent de nous évader et le résultat est époustouflant !!!
M E R C I
C’est le but : s’évader ! par les temps qui courent on en rêve tous.
Merci aussi BriMau
« Histoire sans parole » ….
Donc, c’est La Muette !
A déguster en silence …
Un vrai bol d’or sans le bruit des enginS
Quelle poésie Sergent 🙂 !
Je te défends de dire du mal du Bol d’Or !
J’ai cherché, c’est donc une jeune mouette : -))
Merci pour ta recherche, j’avais la flemme mais je me posais aussi la question. 😉
Perdu !
Tu vois Claude, faut pas croire ce que dit Antoine Mékilef :-))
😂 Bon, alors dis nous ce que c’est !
Ok pour bécasseau, mais je croyais qu’ils vivaient en colonies assez nombreuses comme les étourneaux, c’est sans doute ce qui m’a fait dérailler (mais je déraille souvent !!!)
C’est aussi ce que je me suis dit en voyant ces 2 seuls énergumènes sur la plage. Sans doute les autres n’étaient pas loin…
Vraiment trop mignon celui-là ! C’est un pitchoune ?
Mais de quoi, Le bec n’est pas celui d’un goëlan, la couleur des ailes n’est pas d’une mouette, on dirait un jeune étourneau limicole, mais ils sont marron et en bande.
Je cale.
Belles couleurs, ça fait un bel ensemble et on respire, ça fait du bien.
Ouais, un vrai bol d’air cette balade…
Et, minute culturelle, l’oiseau c’est un « bécasseau sanderling », un limicole que l’on peut voir sur toute la côte ouest, en hiver notamment.
Absolument splendide!
Merci Marie-Cécile…
Suis-je cet oiseau?
Peu pas dire le bien que ça fait…
S’imaginer être un oiseau au dessus de l’Océan…
Merci Irina.
C.est beau tout cet or !
Et là, c’est de l’or qui fait le bonheur !
Le silence est d’or et dor est le silence.
Quelle beauté, simple, silencieuse, dépouillée, c’est juste ce dont j’avais besoin, respiration et contemplation, merci !
La mer me manque.
Oh, comme je te comprends Claude !