Vous vous souvenez de ce graveur que L’Espricerie a reçu il y a presque pile un an ? J’ai retrouvé sa trace.
Il est tombé amoureux, lui aussi, de cette ancienne jeune femme. De son vrai nom Julienne Gauvain, elle est née à Fougères en Ille-et-Vilaine (le 10 avril, ce sera le 213e anniversaire de sa naissance) et décédée presque pile 77 ans plus tard à Paris.
Au départ, c’est cette lithogravure de Jules Noël qui l’a attiré (Andreas).
N’est-ce pas qu’elle est belle !
Superbe. Cette technique de la gravure sur granit est absolument bluffante.
Travail magnifique encore une fois, et réalisé en trois jours, là, je suis impressionnée ! Merci a toi et a Anne de nous présenter cette oeuvre.
Patience et délicatesse pour un résultat qui laisse sans voix.
L’oeuvre d’origine, de Jules Noël, est superbe et c’était un défi que de reprendre cette gravure pour en créer une nouvelle, les 2 si ressemblantes, si différentes mais aussi belles chacune à leur manière.
Bravo l’artiste !
Et merci Yves pour se rab délicieux. Et j’en reprendrais bien encore un peu…
La gravure est un travail impressionnant, de patience, de précision, de finesse … Et sans droit à l’erreur !
J’admire à la fois le résultat et la technique … Bravo !
Andréas peut donner souvent de ses nouvelles, c’est vraiment toujours un plaisir.
PS : si tu pouvais agrandir un peu la gravure sur chevalet, ce serait idéal !
Quel beau travail !
Tomber amoureux d’une photo ou d’un tableau, c’est ce qui est arrivé au héros de cet auteur que j’ai chéri, Richard Matheson, dans son roman « Le jeune homme, la mort et le temps » Mais lui il a été au bout de sa passion!
Julienne est bien jolie en effet et il m’arrive, je l’avoue, de poser un regard attendri sur des reproductions de personnes depuis longtemps disparues ….
Ah Matheson ! Un grand écrivain et un mystique, je l’adore. Un passage de son livre « la maison des damnés » m’a fait sursauter, ce qui ne m’arrive JAMAIS en lisant un roman.