Mais qu’est-ce qui se passe avec mes commentaires ? C’est la 3ième fois que je passe et toujours pas de trace ! Je dois louper un clic !
» – C’est grave docteur ?
– Bah Heuuu ! Rien de bien inquiétant à votre âge ! »
Qu’est-ce qu’il a mon âge ??? Je lui en fais des réflexions à son âge ?
Bon j’en reviens au commentaire: C’est un sacré travail que tuas fais ! Arriver à ces couleurs de bonbons fondants comme ceux que nous donnaient les soldats américains qui passaient sous la balustrade du jardin, à Garches ! Je devais avoir 3 ans pas plus ! Ca fondait dans la bouche, les tiens fondent dans les yeux !
Je vais devoir me relire avant d’envoyer, tellement je suis émue. Et oui, ce dessin m’appartient, youkaïdi et toute cette sorte de choses. Ce qui ne m’empêche pas de saliver aussi devant les autres. C’est vrai qu’ils ont des allures de confiseries, ces cailloux d’ailleurs. C’est surement pour ça que tu les croques aussi bien.
Merci, ma Bou ♥
A l’intention de notre aimable auditoire, je vais dévoiler ici pour lequel de tes jolis poèmes j’ai imaginé cette illustration :
« RÉPONSE BLEUE (In le recueil « ÉCLAIR OBSCUR »)
Cliquetis de cigales
Elles broient l’appel
Collées au tronc
La réponse infime du ciel
se dit bleu
Elles sont ruisseaux roulants de pierres
enfants qui mâchent des gâteaux
insectes-loups
dont la trace est une émergence. »
Je reconnais néanmoins que ce dessin est pauvre en cigales.
Pourtant je ne suis pas trop bonbecs d’habitude, mais là je souffre soudain d’un réflexe honteusement pavlovien que même l’oeil accusateur du chat (« comment oses-tu ? il n’y a même pas de réglisses ! ») n’arrive pas à juguler.
Ces couleurs, ces douceurs, ces rondeurs … Des gourmandises pour les yeux. Mon Castor est un faiseur de merveilles !
Qui fait du mouillé avec du sec, oui oui, je ne sais pas comment tu fais ça !
Un jour j’ai essayé de faire du pastel. Un jour mais pas deux, j’ai rangé ma boîte illico : je suis définitivement nulle à ce truc-là. Tu m’épates, Castor !
Je vais paraître Lourdes, mais tes rochers et galets me font penser aux cailloux du Gave de Pau à la nougatine et au chocolat au lait dragéifiée au sucre. On a envie de les manger. Ce doit être parce que je suis une pie; il parait qu’elles aiment tout ce qui brille….
*miam*. Me dis pas ça, Hélène, je suis un incorrigible bâfreur de friandises. D’ailleurs là, je suis en train d’amorcer un mouvement de reptation tournante et hypocrite vers le placard aux bonbecs.
SergentPoivre
3 années il y a
Quand le minet râle, le Castor tue par son coup de patte pour la mise en scène et en couleur de ces pierres précieuses.
Boudune quelle chance tu as !
Belle série colorée et surréaliste. Je suis fascinée par la plage de Corbara, entre ombre et lumière, éclatante et mystérieuse. Peut-être un autre monde.
J’aimerais voir ce pastel en entier.
Merci ♥ Le haut de la photo, mon appareil défaillant l’a cramé. Je vais devoir prendre une autre photo (avec un autre appareil), mais il va aussi falloir que je décadre ce pastel, sinon impossible de faire un cliché correct avec les reflets de la vitre. De plus, il est encadré à l’ancienne, avec des agrafes ! Ce qui veut dire une galère sans nom pour le remettre dans son cadre. Mais je ne renonce pas, hein, Claude, on va y arriver ! Le haut du tableau, c’est la mer, une vague qui déferle.
J’aime bien ta salade de fruits marine, le regard de chat au-dessus des Pyrénées, la nature morte de Boudune, mais j’aime particulièrement la rivière aux bonbons acidulés (peut-être proviennent-ils des cratères de la lune ?) qui coule entre les montagnes, vraiment…
Oui, la rivière aux dragibus (qui ne peuvent venir que de cette lune moelleuse) a quelque chose de paisible, loin de l’agitation humaine. Merci Cécile ♥
Mais qu’est-ce qui se passe avec mes commentaires ? C’est la 3ième fois que je passe et toujours pas de trace ! Je dois louper un clic !
» – C’est grave docteur ?
– Bah Heuuu ! Rien de bien inquiétant à votre âge ! »
Qu’est-ce qu’il a mon âge ??? Je lui en fais des réflexions à son âge ?
Bon j’en reviens au commentaire: C’est un sacré travail que tuas fais ! Arriver à ces couleurs de bonbons fondants comme ceux que nous donnaient les soldats américains qui passaient sous la balustrade du jardin, à Garches ! Je devais avoir 3 ans pas plus ! Ca fondait dans la bouche, les tiens fondent dans les yeux !
Merci, Antoine !
« les tiens fondent dans les yeux », belle trouvaille ♥
Ailleurs… C’est là qu’est la poésie.
C’est tout-à-fait ça.
Je vais devoir me relire avant d’envoyer, tellement je suis émue. Et oui, ce dessin m’appartient, youkaïdi et toute cette sorte de choses. Ce qui ne m’empêche pas de saliver aussi devant les autres. C’est vrai qu’ils ont des allures de confiseries, ces cailloux d’ailleurs. C’est surement pour ça que tu les croques aussi bien.
Merci, ma Bou ♥
A l’intention de notre aimable auditoire, je vais dévoiler ici pour lequel de tes jolis poèmes j’ai imaginé cette illustration :
« RÉPONSE BLEUE (In le recueil « ÉCLAIR OBSCUR »)
Cliquetis de cigales
Elles broient l’appel
Collées au tronc
La réponse infime du ciel
se dit bleu
Elles sont ruisseaux roulants de pierres
enfants qui mâchent des gâteaux
insectes-loups
dont la trace est une émergence. »
Je reconnais néanmoins que ce dessin est pauvre en cigales.
Pourtant je ne suis pas trop bonbecs d’habitude, mais là je souffre soudain d’un réflexe honteusement pavlovien que même l’oeil accusateur du chat (« comment oses-tu ? il n’y a même pas de réglisses ! ») n’arrive pas à juguler.
Ces couleurs, ces douceurs, ces rondeurs … Des gourmandises pour les yeux. Mon Castor est un faiseur de merveilles !
Haha merci Cachounette ^^ ♥
Et cesse de baver sur ce clavier ! La liste des accros aux bonbecs s’allonge sur cette page, et j’ai les noms !
Très beaux ces pastels…fluides et sensuels comme le matou lui-même, sans doute!
Le pastel, le matériau qui fait du mouillé avec du sec ^^ Merci Irina ♥
Qui fait du mouillé avec du sec, oui oui, je ne sais pas comment tu fais ça !
Un jour j’ai essayé de faire du pastel. Un jour mais pas deux, j’ai rangé ma boîte illico : je suis définitivement nulle à ce truc-là. Tu m’épates, Castor !
Ma Mêow, toi tu n’as nul besoin de pastel : tu peins avec des mots.
Magnifique !
Merci Anne ! ♥
Je vais paraître Lourdes, mais tes rochers et galets me font penser aux cailloux du Gave de Pau à la nougatine et au chocolat au lait dragéifiée au sucre. On a envie de les manger. Ce doit être parce que je suis une pie; il parait qu’elles aiment tout ce qui brille….
*miam*. Me dis pas ça, Hélène, je suis un incorrigible bâfreur de friandises. D’ailleurs là, je suis en train d’amorcer un mouvement de reptation tournante et hypocrite vers le placard aux bonbecs.
Quand le minet râle, le Castor tue par son coup de patte pour la mise en scène et en couleur de ces pierres précieuses.
Boudune quelle chance tu as !
Cette Boudune a tout : la chance, la beauté, le talent… c’est absolument scandaleux.
Ton Matou Pitchou on dirait du Dali ! ;0)) Magnifique serie.
Alors ça c’est flatteur ^^ Merci Gibbon !
Belle série colorée et surréaliste. Je suis fascinée par la plage de Corbara, entre ombre et lumière, éclatante et mystérieuse. Peut-être un autre monde.
J’aimerais voir ce pastel en entier.
Merci ♥ Le haut de la photo, mon appareil défaillant l’a cramé. Je vais devoir prendre une autre photo (avec un autre appareil), mais il va aussi falloir que je décadre ce pastel, sinon impossible de faire un cliché correct avec les reflets de la vitre. De plus, il est encadré à l’ancienne, avec des agrafes ! Ce qui veut dire une galère sans nom pour le remettre dans son cadre. Mais je ne renonce pas, hein, Claude, on va y arriver ! Le haut du tableau, c’est la mer, une vague qui déferle.
Ah, dur ce problème d’encadrement. Mais en même temps, c’est bien d’avoir une photo réussie de chaque œuvre.
J’aime bien ta salade de fruits marine, le regard de chat au-dessus des Pyrénées, la nature morte de Boudune, mais j’aime particulièrement la rivière aux bonbons acidulés (peut-être proviennent-ils des cratères de la lune ?) qui coule entre les montagnes, vraiment…
Oui, la rivière aux dragibus (qui ne peuvent venir que de cette lune moelleuse) a quelque chose de paisible, loin de l’agitation humaine. Merci Cécile ♥